Présentation du séminaire du jeudi 21 février 2008 - 21 heures - 270 rue Saint-Jacques
Quelques conséquences de la projection d’un film : Œdipe en Chine
Mon travail à Xingxingyu a commencé en l’an 2000 et c’est au retour de mon premier séjour que j’ai rencontré Brigitte Baptandier (voir par ici)
C’est bien plus tard que j’ai connu le livre de Brigitte Berthier, La dame du bord de l’eau, sans savoir que c’était la même personne.
Vous trouverez sur ce site lacanchine le texte qui fait état de quelques rencontres avec des parents d’enfants dits « autistes » et qui sous le titre À l’impossible (qui n’est pas français?) nul n’est tenu essayait de dire que c’est parce que la psychanalyse est possible en Chine qu’elle est devenu (pour moi, dans ce lieu) impossible.
S’éclairera ainsi cette courte séance qui apparaît dans le film ou pendant une heure dans une très grande tristesse j’expliquais à l’équipe, les raisons pour lesquelles je cessais de travailler à XingXingyu.
Une autre très courte séquence est extraite d’un entretien fortuit avec une mère qui fut de mon point de vue une véritable séance de psychanalyse publique (à la chinoise).
Tout cela n’est pas sans rapport avec le travail sur les « catégories du sexe » de Brigitte Berthier mises en tension avec les formules de la sexuation de J. Lacan, vue sous l’angle de l’« autre jouissance », mais une « autre jouissance » pas toute sous la dépendance de la jouissance phallique.