Sous le titre de la nature romantique de l’enseignement de J. Lacan dans son long, on ne pourra que mi-dire et non pas médire ou maudire, c’est-à-dire soutenir que chacun a son mot à dire, le dire mot à mot, à demi-mot, et pourquoi pas traduire le mi-dire de J. Lacan par cette phrase célèbre de Lao zi :



dao ke dao feichang dao, ming ke feichang ming.





C’est donc une préparation à mon intervention à Chengdu en avril 2010 dans le cadre du colloque qui traitera de la nature de l’être parlant de J. Lacan à Mengzi et naturellement vice et versa.

Cette répétition se répétera les deux séminaires suivants de février et mars.

Les deux séminaires précédents tenus par Yan Helai furent aussi une préparation à son intervention au même colloque.



Le bestiaire passera des gorets et des abeilles dans leur essaim à l’âne lacanien incarné par J. Lacan qui ânonnait1 comme un nigaud le chinois avant de ne faire plus que des fautes de grammaire, sans oublier son chien2.



En vous souhaitant une bonne année 2010



1 ânonner : mettre bas pour une ânesse.

2 Lacan J. (1961-1962) L'identification, séminaire inédit, leçon du 29 novembre 1961.







Ch_Retour_Guibal09b.html
  
Ch_Retour_Guibal09d.html
 

Séminaire de Michel Guibal

2009 - 2010


Retour
sommaireCh_Retour_Guibal00.html

Séminaire du 21 janvier 2010